Qui n’a jamais eu envie d’être épanoui dans son travail, d’avoir la chance d’être pleinement soi-même et de faire l’activité professionnelle qui nous correspond ?

De nos jours, beaucoup de personnes se tournent vers le secteur libéral d’avoir un quotidien qui correspond à leurs aspirations. Lorsque l’on exerce en tant que thérapeute holistique, nous avons à cœur d’accompagner les personnes qui viennent nous trouver, mais aussi de pouvoir bénéficier des avantages qu’offre le fait d’être indépendant.

Mais, le fait de devoir gérer une entreprise a des avantages et des inconvénients. On doit apprendre à rester soi-même tout en apprenant à devenir dirigeant de la « marque » de notre enseigne.

En tant que coach de vie, je vous aider à comprendre comment rester vous-mêmes et pouvoir en même temps avancer et prospérer professionnellement.

Comment être soi-même au travail quand on est thérapeute ou coach ?

Dans l’idéal tout le monde devrait pouvoir être heureux et épanoui dans son travail. Chaque personne a des besoins et des envies uniques en ce qui concerne son mode de vie à suivre.

Pour les personnes qui souhaitent devenir praticien holistique, coach ou exercer toute autre activité en étant indépendant, il y a beaucoup d’avantages à cela, mais aussi beaucoup de défis personnels et professionnels à dépasser. Voyons ensemble comment être soi-même et heureux dans son travail.

Les avantages du libéral en tant que thérapeute

Tout d’abord, il faut savoir que, pouvoir être dans le libéral, a de bons avantages et encore plus quand on est thérapeute, je vais vous expliquer pourquoi.

Le positif du libéral

Le libéral ou l’autoentreprise a des avantages puisque l’on peut façonner son quotidien à l’image de ses aspirations et de ses moyens (s’accorder des vacances et leur durée, choisir ses horaires, etc.).
De plus, le libéral permet de ne pas rendre de compte à quiconque autre qu’à vous-mêmes. Vous êtes libres de fixer vos objectifs et la marche à suivre pour les atteindre.

En résumé, voilà ce que ce secteur d’activité vous permet :

  • D’avoir un mode de vie conforme à vos besoins (à domicile, dans un cabinet ou en distanciel)
  • De pouvoir établir vos horaires et votre planning comme vous l’entendez
  • De pouvoir vous libérer quand vous le souhaitez
  • D’avoir la capacité de prendre des vacances de la durée qui vous correspond (et même plusieurs fois dans l’année)
  • Pouvoir travailler dans n’importe quel endroit : ville, région ou pays
  • Permet d’avoir du temps pour soi et pour sa famille
  • Être en libéral donne l’opportunité de définir son activité comme on le souhaite : cible patient, moyens mis en œuvre, etc.

Néanmoins quand on est thérapeute et que l’on a la chance d’être en libéral on peut vraiment mettre cet atout à profit.

Les avantages d’être thérapeute ou coach

Les thérapeutes holistiques, les coachs et les professionnels du bien-être sont des personnes qui mettent leurs aptitudes au service d’autrui.

Contrairement aux praticiens dans le domaine de la santé qui sont fonctionnaires, comme les médecins, les infirmières ou les aides-soignants qui dépendent d’une structure de l’État ; les thérapeutes holistiques peuvent prétendre à des avantages.

Tout d’abord, les praticiens du domaine de la santé et du bien-être sont dans la gestion constante de l’humain. Ils accompagnent leurs semblables dans une gestion émotionnelle, psychique et physique (maux, traumatismes, dépression, angoisses, stress, etc.).

De ce fait, il n’est pas rare de retrouver au bout de quelques années des soignants (fonctionnaires d’État) qui deviennent eux-mêmes épuisés, irritables à cause du manque de reconnaissance et de moyens mis en œuvre pour faciliter leur exercice professionnel, comme les infirmiers ou les aides-soignants par exemple. Malheureusement, ils ne peuvent choisir leurs horaires, ou quand partir en congé ou s’arrêter, puisqu’ils sont soumis à un « ordre », à des obligations dont ils ne peuvent déroger.

C’est en cela qu’est le gros avantage des thérapeutes holistiques et coachs en libéral. Bien qu’ils aient eux-mêmes des obligations, ils ont la capacité de répondre à leurs besoins de manière respectueuse — et ce, bien entendu — dans le domaine du possible.

Cependant, le stress et la gestion des maux et des maladies de l’être humain restent quelque chose de prenant et énergivore, quel que soit le secteur dans lequel on exerce.

C’est pourquoi, les thérapeutes holistiques et les coachs bien-être ont l’avantage de la gestion de leur temps et la responsabilité pleine de leur confort et de leur bien-être.
Si pour une raison particulière, le thérapeute holistique doit prendre un jour de repos pour se recharger et travailler sur lui-même, il pourra facilement se créer cet espace avant d’imploser ou de tomber malade.

Avoir la chance de pouvoir se consacrer à sa propre évolution et de pouvoir s’accompagner, mais aussi respecter ses besoins fondamentaux quand on le souhaite est une chance et un trésor pour tout praticien dans le domaine de la santé.

De plus, comme vous vous en doutez, un bon thérapeute doit aussi travailler sur lui pour dépasser ses problématiques et mieux accompagner ses patients. Et c’est là, le trésor que donne le fait d’être indépendant.

Voici en résumé les avantages du libéral quand on est thérapeute holistique :

  • Définir son planning en fonction de ses capacités et de ses ressources
  • Pouvoir prendre des patients en urgence si l’on a l’énergie
  • Pouvoir prendre l’espace et le temps d’avancer dans son développement personnel et spirituel
  • Permet la prise de recul avec ses patients : choisir de les accompagner ou non
  • Aucun compte à rendre à un supérieur
  • Permet de s’accorder des vacances quand nécessaire afin d’éviter le surmenage et le burn-out
  • Permet d’avoir une meilleure écoute et une plus grande compassion face aux patients, puisque l’on est responsable de nos propres émotions, nous pouvons prendre le temps de les accueillir et de ne pas les projeter sur les autres.

Ainsi, nous avons des avantages, mais aussi des défis relatifs à nos objectifs personnels et professionnels voyons cela ensemble.

Quels sont les défis que l’on rencontre quand on est indépendant ?

Bien qu’être indépendant ait des avantages, il y a également beaucoup de défis et de contraintes. Il existe les défis personnels et les contraintes professionnelles.

Les défis personnels

Ainsi, quand on est thérapeute, coach ou professionnel dans le bien-être, nous rencontrons tout d’abord des défis, des challenges personnels que nous devons dépasser pour être pleinement nous-mêmes dans notre travail.

Le syndrome de l’imposteur

Lorsque l’on se lance dans l’auto-entrepreneuriat et notamment dans le domaine du bien-être, nous sommes alors face à nous-mêmes. Nous devons apprendre à nous faire confiance autant dans l’exercice de nos fonctions, que dans l’accompagnement du patient qui vient nous trouver.

De plus, le fait qu’une personne vienne demander une prestation de service pour résoudre un problème de santé, nous donne — en tant que thérapeute — une pression, une responsabilité dans l’analyse de l’anamnèse de la personne et dans le plan d’action à mettre en place pour l’aider.

Dès lors, il arrive souvent que beaucoup de praticiens, bien qu’ils aient obtenu un diplôme ou une certification, puissent manquer de confiance en eux et remettent en question leur propre analyse.

Néanmoins, le syndrome de l’imposteur est souvent prédominant en début d’activité, mais il peut aussi se développer plus tard, si le thérapeute n’exerce pas auprès d’un public qui lui correspond. Il s’agira alors d’un problème de cible et de correspondance et non réellement d’un problème de légitimité. Le syndrome de l’imposteur se retrouve également dans syndromes relationnels du sauveur, du bourreau et de victime que l’on nomme le triangle de Karpman.

C’est pourquoi quand on exerce en libéral il est courant d’être sujet à ce syndrome de l’illégitimité. Puisqu’il n’y a aucune personne référente à laquelle vous puissiez demander un conseil pour vous accompagner vous-mêmes.

L’autocritique doit également être surveillée pour ne pas devenir toxique. Il est important de fortifier et de favoriser un regard positif et juste sur soi, sans pour autant rentrer dans le perfectionnisme qui nous dénature.

Le syndrome du sauveur

Pour continuer dans les syndromes que l’on rencontre et qui sont en fait des défis à relever, nous avons le syndrome du sauveur.

Le sauveur pensera qu’il faut « tout faire » pour « tout le monde », et ce, à n’importe quelle heure et à n’importe quel prix. En plus de dispenser des conseils non demandés, ou de proposer son aide sans que celle-ci soit souhaitée, la personne qui souffre de ce masque aura tendance à se sacrifier pour autrui et elle cherchera une reconnaissance « positive » par n’importe quel biais possible.

De plus, il ne se rendra pas compte qu’il se manque de respect envers lui-même et qu’il manque d’amour-propre. La recherche de la validation et de la reconnaissance de l’autre montre que l’on rencontre une fausse estime de soi, soit nous devons narcissique à nous prendre pour le Christ ou Dieu, soit nous avons peur de ne pas faire « assez bien » et la tendance sera alors à la dévalorisation.

Il est important de ne pas oublier que la quantité de patients ou de témoignages ne font en rien la qualité d’un thérapeute au niveau de « l’humain qu’il est ». Les avis révèlent juste l’expérience du praticien dans sa pratique et la nature de son approche.

Un conseil, partez du principe que nous ne plairez jamais à tout le monde et que « tout le monde » ne doit pas être sauvé par « vous ». Ce travail de détachement et de remise en question commence par l’acceptation, le détachement et le lâcher-prise. Pour cela, il faut arriver à changer l’image du « devoir » que l’on se fait porter, pour revenir à « soi » tout simplement.

Le syndrome de la victime

Alors, voilà un syndrome auquel on ne pense pas quand on est thérapeute, mais qui pourtant est bien présent chez la plupart des praticiens.

Le syndrome de victime consiste à se trouver victime de tout ce qui nous entoure et dans le cas présent il s’agit de l’activité professionnelle.

Ainsi, le praticien devient victime, car il n’a pas le temps de prendre soin de lui, il devient victime de l’ingérence de son temps et de l’irrespect dont certains patients peuvent faire preuve à son égard (critique du prix, frustration de ne pas cheminer assez vite, projection de ses problèmes sur le thérapeute, entre autres).

Dans ce cas de figure, le praticien fera (par exemple) constamment des offres, il brisera ses prix et fera toujours en sorte de dire « oui » à tout, même aux demandes farfelues de ses patients, car il va les considérer comme une figure d’autorité, dont il pourra se plaindre après avec ses proches.

Pour reprendre le lead sur vous-mêmes, n’oubliez jamais que vous vous devez le respect, la franchise et l’humilité nécessaire pour connaître vos forces et vos faiblesses, mais aussi définir vos objectifs sans craindre de représailles. Une fois encore, il s’agit de faire preuve d’amour-propre.

En conclusion, il s’agit d’apprendre à se positionner et à dire « non » aux autres pour arriver à se dire « oui ».

Le syndrome du bourreau

Maintenant, nous allons aborder le dernier aspect du triangle de Karpman qui est le syndrome du bourreau.

Tout d’abord, le syndrome du bourreau quand on est thérapeute s’apparente à la sensation de faire « plus de mal que de bien » au patient et d’en venir à négliger son interaction avec le patient. Il s’agit également d’une non-envie de remettre en question ses fondements et ses croyances.

Il ne faut pas oublier que pour un suivi thérapeutique efficace, il faut favoriser à tout prix une relation de confiance mutuelle et de respect entre thérapeute et patient.

Or, lorsqu’un thérapeute souffre de ce syndrome, il aura l’impression que quoi qu’il fasse, il ne sera jamais assez performant pour aider son prochain, et même pire encore, il peut être persuadé qu’il aggrave les maux de ses patients et il se sentira responsable de tout leur malheur.

Une autre facette de ce syndrome est aussi le déni. Il arrive aussi que ces thérapeutes aient « un trop fort caractère » et soient « percutants » avec leurs patients.

Cela s’exprime tout simplement par le fait que le praticien aura la croyance qu’il souffre plus que les autres et donc que les autres ne sont pas en droit de se plaindre. Mais cela peut aussi être, de manière similaire au syndrome du sauveur, un moyen de proclamer sa vérité absolue et de l’imposer aux autres.
Dans le cas du sauveur, cela est fait pour les aider et pouvoir se faire adorer, alors que dans le cas du bourreau c’est au contraire la notion d’être plus fort que les autres et d’être craint afin de ne pas être remis en question.

Cette posture arrive chez des praticiens de santé d’un certain âge qui ne souhaitent plus se remettre en question, mais qui pourtant ont des souffrances béantes ou un ego coriace.

Pour finir sur les défis que l’on rencontre dans le libéral quand on est thérapeute, coach ou professionnel de santé.

Les contraintes professionnelles pour rayonner et prospérer

Au-delà des blessures personnelles que nous avons évoquées précédemment, nous allons à présent voir ce quelles sont les obligations des indépendants.

Les obligations fiscales d’un praticien indépendant dépendent de son statut professionnel. C’est pourquoi j’évoquerai ici les obligations générales qui s’appliquent à tous.

Tout d’abord, il est important de se demander :

– Pourquoi choisissons-nous de faire ce métier ?
En d’autres termes de définir les objectifs de cette vocation.

– Pour qui ?
Le public cible que l’on doit définir en fonction de nos valeurs et de notre champ de compétence.

– Comment puis-je établir mon activité ?
En distanciel ou en présentiel.

– Combien de temps par jour puis-je consacrer à mes patients ?
Définir un planning pour les rendez-vous des patients.

– De combien ai-je besoin financièrement pour vivre ?
Mettre un prix qui répond à nos besoins et à nos envies sans pour autant sortir de la norme du marché.

– Quels supports vais-je utiliser pour communiquer sont mon activité ? (Réseaux sociaux, etc.)

Voici quelques questions de base, mais essentielles pour réussir à définir, ce que l’on veut, pour qui ont le fait et pourquoi.

Ensuite, quand on est en libéral on doit apprendre à être « multi-tâches ». Bien que les gens de l’extérieur ne s’en rendent pas compte, être indépendant oblige d’apprendre d’autres compétences ou métiers que celui pour lequel on exerce de base.

  • On doit gérer la compatibilité et rédiger des factures
  • On doit développer notre communication web et sur les réseaux sociaux, ce qui demande d’apprendre les bases du marketing et de la communication digitale.
  • On doit apprendre à créer du contenu : articles, templates, etc. ce qui nous permet d’apprendre le métier de graphiste ou de designer.
  • On doit apprendre à se positionner et à choisir les bons mots-clés qui vont définir notre activité
  • On doit apprendre à anticiper sur des mois pour s’assurer des revenus financiers
  • On doit entretenir le lien avec les personnes et la communauté qui nous suit
  • On doit être créatif et beaucoup investir de temps et d’argent pour que notre entreprise soit pérenne dans le temps.

Tout cela, sans oublier l’organisation de salon, de conférence et aussi en « option » le fait de vivre une à côté. N’oublions pas que l’on travaille pour vivre et non nous ne vivons pour travailler. Bien que dans le domaine du libéral nous soyons forcés par moment de passer un temps énorme pour la réalisation de projets et l’évolution de notre activité.

Les clés pour rester soi-même au travail

Maintenant que nous avons vu les avantages et les inconvénients du libéral quand on est thérapeute holistique, nous allons maintenant voir comment rester soi-même au travail et ne pas se perdre dans des blessures émotionnelles ou dans une mauvaise gestion de notre activité.

Pour commencer, nous allons définir ce que signifie « être soi ». Quand on souhaite être pleinement « soi » cela signifie que l’on ne veut pas jouer un « rôle » qui ne serait pas en adéquation avec nos valeurs ou nos pensées. Il s’agit de ne pas se mentir à soi-même et pour y parvenir il est important de bien se connaître.

Ainsi, « être soi » c’est vivre en faisant des choix, des actions et en ayant une attitude, qui correspondent en tout point à notre philosophie de vie, et ce, que cela soit dans le domaine du privé ou du professionnel.

Il s’agit également d’accepter de ne pouvoir plaire à tout le monde et de malgré tout choisir de rester naturel au lieu de s’adapter à ce que les autres attendent.

Toutefois, nous sommes des êtres multiples et complexes. C’est pourquoi au quotidien, nous pouvons jouer avec nos différentes facettes sans pour autant nous dénaturer. L’adaptation est naturelle quand il s’agit d’une preuve de savoir-vivre et de savoir-être. Par exemple, si une personne pleure, car elle a appris le décès de quelqu’un, vous n’allez pas « l’écraser » avec votre joie, en revanche vous saurez faire preuve d’écoute et de bienveillance.

On peut donc dire qu’être soi c’est savoir vivre en paix avec son ombre et sa lumière, avec ses défauts et ses qualités. Cela implique de bien se connaître et d’avoir suffisamment d’amour-propre pour s’accepter tel que l’on est.

À présent, voyons comment être soi au travail ; il vous faudra :

– Restez authentique
Vous avez le droit de ne pas tout savoir et de ne pas tout connaître. Le rôle d’un thérapeute n’est pas de tout maitriser (conscience et vérité universelle), mais de ne pas faire d’erreur dans son domaine de compétence (mal administrer son traitement).

– Ne pas se comparer
L’autre est autre et cela est bien ainsi. Éviter de chercher à plaire à autrui ou à ressembler à vos confrères. Votre histoire et votre personnalité sont uniques. À vous d’en faire les joyaux de votre unicité.

– L’humain vs l’humain
La personne qui vient vous trouver est un être humain tout comme vous. Il ne s’agit donc pas de l’accueillir en étant « trop aseptisé », trop « propre » comme un thérapeute « parfait ».

– Le corps et l’esprit
Afin de rester pleinement soi-même et de vivre épanoui, il est important d’appliquer sur soi une approche holistique, c’est-à-dire « globale ». Maintenir l’équilibre entre notre santé mentale et physique.

– Les loisirs
Pour rester soi-même au travail, il est important de profiter de loisirs et d’activité créative qui nous sortent de la monotonie du quotidien.

– Se faire confiance
La confiance est la base d’une bonne estime de soi et le meilleur moyen pour se réaliser harmonieusement dans son domaine d’activité.

– Prendre le temps
Quand on exerce en libéral, la notion du temps est importante. Prendre le temps de se retrouver entre chaque patient qui vient consulter est essentiel. Prévoir quinze à trente minutes entre ses rendez-vous permet de ne pas travailler à la chaine et de rester dans une écoute optimale pour ses patients.

– Déculpabilisez et lâcher prise
Le sort du monde n’est pas entre vos mains, vous avez le droit de ne pas savoir et de ne pas être « parfait » comme vous l’aimeriez. La relativisation et le détachement émotionnel sont importants pour ne pas se créer de complexes ou de syndromes néfastes.

– Restez naturel
Vous avez le droit de faire preuve d’humour et de légèreté avec vos patients, tout comme vous avez aussi le droit de décaler une de vos consultations si votre moral ou votre énergie sont au plus bas.

– Incarnez une entreprise qui vous ressemble
Faites de votre entreprise un symbole qui vous ressemble et non qui cherche à plaire à tout le monde. Plaisez-vous à vous-même, avant de vouloir plaire aux autres.

– Mettez des prix justes et responsables
Affichez des prix qui correspondent à vos services et à votre cible de patient. Tenez compte également des tarifs du marché pour ne pas être trop haut ou trop bas dans vos tarifications.

– Collaborez avec des praticiens complémentaires
Pour être soi-même, il ne faut pas chercher à faire comme les autres. Prenez le temps de contacter des praticiens holistiques qui œuvrent dans des compétences complémentaires à votre activité et qui ont les mêmes valeurs humaines que vous.

Maintenant, vous avez un bon aperçu de comment rester vous-mêmes en tant que professionnel dans le domaine de l’holistique et de la santé.